Réunion de lancement du groupe de travail consacré aux missions 2.1 et 2.3

Dans les mois à venir, les activités de la plateforme gaz seront axées sur l’infrastructure gazière de la région euro-méditerranéenne. Plus spécifiquement, les acteurs de la plateforme gaz travailleront sur deux missions, comme indiqué dans le programme de travail de la plateforme.

Mission 2.1 : un examen de l’état actuel et de l’utilisation des infrastructures gazières dans la région euro-méditerranéenne, axé sur le transport, le stockage, la liquéfaction et la regazéification des GNL.

Mission 2.3 : un inventaire et une analyse des projets d’infrastructures gazières déjà proposés dans la région, et l’identification de freins et obstacles. Le but est d’identifier les lacunes qui empêchent une circulation efficace à travers la région euro-méditerranéenne, et d’évaluer si les projets de gazoducs proposés sont à même de combler ces lacunes. Sera également incluse une analyse de la manière de maximiser le potentiel de l’Est de la Méditerranée et du corridor gazier sud-européen.

En parallèle de ces missions, le Secrétariat de la plateforme gaz de l’UpM créera une base de données des infrastructures gazières (qui contiendra des informations sur les terminaux/usines de GNL, les installations de stockage de gaz et les gazoducs existants, en construction ou prévus dans la région euro-méditerranéenne).

Un groupe de travail a été formé afin de débattre du contenu de ces missions et de l’améliorer, mais également pour définir les activités et pour réfléchir communément aux questions liées aux infrastructures. La réunion de lancement du groupe de travail sur les infrastructures a eu lieu le 26 juillet 2018 dans les bureaux de l’OME à Paris.

La réunion a réuni une vingtaine de délégués représentant les ministères, les institutions et l’industrie des deux rives de la Méditerranée. Ils ont tous contribué à des discussions animées (selon les règles de Chatham House) et ont participé au succès de l’événement. L’objectif est d’avoir une base de données et des rapport finaux prêts pour la fin 2018.